« Miliciens du Commonwealth » : différence entre les versions
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En 2240, après avoir largement marqué l'histoire du Commonwealth, les Miliciens sont forcés de quitter le fort à la suite d'une attaque de [[Fangeux]]<ref name="BatailleChateau" />. Dans un ultime effort pour tenter de protéger l'armurerie, le général [[McGann]] s'enferme alors lui-même derrière une myriade de défenses, se condamnant à mourir de faim. Malgré cela, son sacrifice mortel permet au sanctuaire d'être épargné des Fangeux. | En 2240, après avoir largement marqué l'histoire du Commonwealth, les Miliciens sont forcés de quitter le fort à la suite d'une attaque de [[Fangeux]]<ref name="BatailleChateau" />. Dans un ultime effort pour tenter de protéger l'armurerie, le général [[McGann]] s'enferme alors lui-même derrière une myriade de défenses, se condamnant à mourir de faim. Malgré cela, son sacrifice mortel permet au sanctuaire d'être épargné des Fangeux. | ||
Malgré la perte du château, les Miliciens poursuivent leur mission et essayent tant bien que mal de répondre aux appels à l'aide des colonies voisines en danger. Leur structure historique, dirigée par un général et divisée en contingents menés par un colonel, leur permet de se déployer "à la minute près" face aux menaces signalées. En 2282 cependant, le général [[Joe Becker|Becker]] considéré comme le dernier "vrai" leader meurt. Les Miliciens doivent alors faire face à des violences internes et à la lutte pour le pouvoir | Malgré la perte du château, les Miliciens poursuivent leur mission et essayent tant bien que mal de répondre aux appels à l'aide des colonies voisines en danger. Leur structure historique, dirigée par un général et divisée en contingents menés par un colonel, leur permet de se déployer "à la minute près" face aux menaces signalées. En 2282 cependant, le général [[Joe Becker|Becker]] considéré comme le dernier "vrai" leader meurt. Les Miliciens doivent alors faire face à des violences internes et à la lutte pour le pouvoir. La situation incite certains membres à abandonner le groupe, notamment James Wire et Ronnie Shaw. | ||
===Le massacre de Quincy=== | ===Le [[massacre de Quincy]]=== | ||
La situation atteint son point d'orgue à la | La situation atteint son point d'orgue en [[2287]]. La perte d'un leadership stable et la recrudescence de querelles internes commencent à éroder le groupe, qui parvient tout de même à venir en aide à un citoyen de [[Quincy]], appelant à la rescousse après l'attaque d'un groupe de mercenaires connus sous le nom d'[[Artilleurs]]. Sous le commandement du colonel [[Ezra Hollis]], un premier contingent se rend sur place. Parmi eux, [[Preston Garvey]], membre des Miliciens depuis l'âge de 17 ans, aide les habitants à barricader la ville. Se sachant trop peu nombreux, Hollis envoie des demandes de renforts répétées aux autres groupes de Miliciens, mais elles restent sans réponse. | ||
Peu après l'arrivée de Hollis, un autre vétéran des Miliciens du nom de [[Clint]] se rend sur place. Il ne vient cependant pas en renfort, puisqu'il a trahi les siens pour rejoindre le camp d'en face, les Artilleurs. Il propose alors au colonel de se rendre, menaçant de mettre à mort toute la ville en cas de refus. Celui-ci ne cède pas. | |||
Les Artilleurs prennent d'assaut la ville, utilisant la position surélevée du viaduc surplombant Quincy pour éliminer les défenseurs. Malgré tous leurs efforts, les Miliciens en sous nombre sont débordés et perdent la bataille. Le colonel Hollis est capturé vivant, et continue de défendre les principes des Miliciens jusqu'à son exécution par Clint. Les villageois sont tous massacrés par les Artilleurs, à l'exception d'un groupe d'une vingtaine de personne qui parviennent à s'échapper sous les ordres de Garvey. L'organisation est alors au bord de la dissolution<ref>[[Preston Garvey]] : « J'étais dans le groupe du colonel Hollis. Une bande de mercenaires, les Artilleurs, avait attaqué Quincy. Les habitants avaient appelé les Miliciens à la rescousse. On a été les seuls à venir. Les autres groupes... Ils ont tourné le dos à leurs compagnons et aux gens de Quincy. On n'a pas été nombreux à s'en sortir. Le colonel Hollis y est resté, alors j'ai dû prendre les survivants en charge. On n'a jamais trouvé d'endroit sûr où s'établir. On a enchaîné les désastres... Vous avez bien vu comment ça a fini, à Concord. »</ref>. | |||
===Les derniers Miliciens=== | ===Les derniers Miliciens=== | ||