Légion de Caesar

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Politique
Type
Autocratie militaire, esclavagiste et ultra-réactionnaire
Gouvernement
Pouvoir centralisé dans les mains de Caesar, conseillé par le Légat, ses frumentarii et les chefs de la garde prétorienne
Structure
Stricte séparation hiérarchique des dirigeants, des soldats, des civiles et des esclaves
Société
Fondateur
2247, fondée par Edward Sallow et Joshua Graham
Chef
Caesar (2247—)
Membre notable
Territoire
Lieu notable
Relation et association
Division
Relation


Image réputation de Fallout: New Vegas

Technique

« Et pourtant ma Légion m'obéit, jusqu'à la mort. Pourquoi ? Parce qu'ils aspirent au bien commun, et qu'ils n'imaginent aucune alternative. »

— CaesarFichier:Fnv Caesar Légion obéissance.ogg

La Légion de Caesar est une autocratie militaire, esclavagiste et ultra-réactionnaire fondée par Edward Sallow et Joshua Graham en 2247.

Histoire

Origines

L'histoire de la Légion est intimement liée à celle de son fondateur. Né en 2226, Edward Sallow est alors un citoyen de la République de Nouvelle Californie vivant près du grand Cimetière. Il n'a que deux ans lorsque son père se fait tuer par une bande de Raiders, ce qui contraint sa mère à se réfugier chez les Disciples de l'Apocalypse. Elle réussit à trouver un poste à la Bibliothèque tandis qu'Edward reçoit peu à peu l'enseignement des Disciples.[1] Bien qu'il soit doué, la réussite de son apprentissage est inégale et dépend essentiellement de son intérêt pour un domaine. C'est aussi lors de cette période qu'il remet en question les principaux concepts des Disciples. Leur dévouement à l'érudition lui semble étouffant et leur message de paix bien trop naïf. Son décalage idéologique le met à l'écart de ses pairs.[2][3]

En 2246, Edward devient anthropologue et linguiste. Les Disciples décident d'exploiter ses nouvelles compétences en l'envoyant à l'est du Grand Canyon en compagnie du médecin Calhoun. Le but de cette expédition est d'apprendre les dialectes employés par les tribus de la région.[4] Mais cette mission déplaît déjà au jeune homme qui ne voit « aucun intérêt pour des gens cultivés à parler comme des sauvages ».[5] C'est lors de ce voyage qu'Edward et son compagnon tombent sur une cache contenant des textes historiques encore bien conservés. Passionné par l'histoire, il tombe sur l'Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain et Commentarii de Bello Gallico qu'il étudie rigoureusement pendant deux semaines. Bien qu'ayant déjà connaissance des principaux évènements antiques, la lecture des campagnes militaires écrites par Jules César influenceront grandement la vie du jeune homme.[3]

Arrivée au Grand Canyon, Calhoun et Edward rencontrent un missionaire mormon capable de parler plusieurs dialectes, Joshua Graham. Celui-ci devient responsable de l'enseignement des deux Disciples mais il n'aura pas l'occasion de les initier. Les trois se font en effet rapidement capturés par la tribu des Blackfoots.[5] Edward ne supporte pas la vue de ce peuple qu'il considère comme inférieur et stupide. Pire, il comprend rapidement que la tribu est en guerre contre sept autres. Répugné à l'idée de disparaître avec les Blackfoots, le futur dictateur prend quelques initiatives malgré les critiques de Calhoun. Il leur enseigne les bases de la stratégie pour unités réduites, leur apprend le maniement et l'entretien des armes à feu, ainsi que la conception des explosifs. Ces nouvelles connaissances fascinent la communauté qui voit en Edward une espèce de sorcier.[6] En peu de temps, il convainc les Blackfoots de mener une offensive contre les Ridgers. Devant leur refus de se rendre, il donne l'ordre de tuer hommes, femmes et enfants sans exception. Lorsque vient ensuite l'affrontement contre les Kaibabs, Edward conduit un de leur messager au ruines du village des Ridgers en guise d'exemple. La vue des corps entassés est un spectacle nouveau pour ce membre de tribu. Edward Sallow vient de faire entrer la guerre totale dans le Grand Canyon.[7]

Naissance de la Légion

Les Kaibabs vaincus, Edward s'attaque aux Fredonians puis aux dernières tribus du Grand Canyon. Caesar est conscient depuis longtemps que les risques de conflits internes augmenteront rapidement dans un groupe aussi hétérogène. Il supprime toutes les identités tribales et les remplace par une culture monolithique, un esprit unique. Il instaure l'ordre et la discipline, impose un langage commun, dissout les libertés individuelles et les valeurs familiales par un endoctrinement idéologique brutal. La diversité ethnique de la région s'efface rapidement face à la détermination de cette nouvelle autocratie.[8]

En 2247, une fois sa confédération de tribus suffisamment grande, qu'il nomme désormais « sa Légion », Edward s'autoproclame Caesar, Joshua Graham reste à ses côtés en devenant son premier Légat.[9] Calhoun est renvoyé chez les Disciples dans le simple but de propager un message menaçant en Nouvelle Californie.[8] Inspiré par ses lectures, Caesar utilise la Rome impériale comme modèle pour sa Légion. En plus de lui offrir l'occasion d'écrire son propre futur, il estime que cette ancienne culture européenne est très éloignée de la civilisation américaine d'avant-guerre que la RNC tente de restaurer. Il est convaincu que ce style de société peut permettre à l'humanité d'éviter l'autodestruction grâce à l'établissement d'une nouvelle Pax Romana.[10] Il considère que l'individu n'a d'autre utilité que sa contribution à l'état, comme instrument de guerre ou de production. La Légion devient ainsi une culture homogène, totalitaire, impérialiste et nationaliste.[11]

Les décennies suivantes, la Légion contrôle entièrement l'Arizona et le Nouveau Mexique et finit par conquérir la majeure partie de l'Utah et du Colorado.[12] Les tribus sont absorbées dans l'armée tandis que les villes et ses habitants sont réduits à l'état de sujets. Depuis 2250, Caesar se fait appeler fils de Mars.

Guerre contre la RNC

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Idéologie

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Organisation sociale

Sujets

Esclaves

Langage

Monnaie

Religion

Organisation militaire

Légionnaires

Doctrine militaire

Relations extérieures

Technologies

Notes

Développement

En coulisses

Vidéos

  • Lonesome Roads 13 - Way up there in the Fort

Références

  1. Le Courrier : « Comment avez-vous accédé au pouvoir ? »
    Caesar : « En fait, je suis né sybarite moi-même, citoyen de la RNC. Ma famille vivait près du grand Cimetière. Après que les Raiders ont tué mon père, ma mère a cherché la protection des Disciples. J'avais deux ans. Elle a trouvé un poste à la Bibliothèque, comme cuisinière et femme de ménage. J'ai appris à lire et bientôt, je suivais les cours, gratuitement. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  2. Le Courrier : « Vous étiez un Disciple de l'Apocalypse ? »
    Caesar : « Oh oui, élevé dans la tradition. Et l'enseignement est resté. Il était de mon devoir de porter la torche du savoir dans le désert. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  3. 3,0 et 3,1 Édition collector du Guide Officiel de Fallout: New Vegas, p.459 : « Rebirth of the Son of Mars
    The adolescence and young adulthood of the man who calls himself Caesar were spent as a scribe of the Followers of the Apocalypse. While this boy had a quick mind, he made for a scribe of uneven ability, for his success in academics was equal to his interest in the subject assigned. Nor was he a favorite among his fellows. Though athletic, handsome, and petulance held him back. He never felt that he belonged among the Followers, and blamed them for it. Their rigorous devotion to scholarship was stifling, their mission to ensure that humanity would never repeat the mistakes of the Great War was ridiculously naive. The boy longed for something more.
    When the time came for the boy to leave the Boneyard and trek the wastes as part of a nine-person expedition, wanderlust soon curdled into disappointment. The primitive conditions of the tribes the expedition encountered disgusted him. Inferior people all, wretched in their squalor. Still, he seemed to discern, amid the chaos of their petty struggles and everyday atrocities, the true order of the wastes-and it was one of anonymous, amoral liberty. The wastes called to the boy as a blank slate upon which a man of will could write his own destiny.
    During the same period of the time that the boy was coming to these insights, the expedition uncovered a cache of well-preserved historical texts. Among with adventure fiction and comic books, history had always been his favorite subject, and so the task of cataloguing and studying the texts fell to him. Though the boy had long been aware of basic facts concerning many ancient empires, these new texts filled in many previously obscure details. Reading The History of the Decline and Fall of the Roman Empire rendered him a veritable hermit for two weeks. But even that could not have prepared him for the Commentarii, the account of the military campaigns of Gaius Julius Caesar, written by the man himself. Reading Commentarii changed the boy's life. Unfortunately, it was destined to change the lives of thousands more, and for the worse.
    In Gaius Julius Caesar the boy found a man who seamed to have fulfilled the full measure of potential greatness allotted to him by fate, a man whose career spanned political accomplishment and military achievement in equal measure. Such adventure! And intrigue! And cool uniforms! The boy's frustrations with his lot in life gained sharp focus. In reading about Caesar, he was like an ant scurrying about the feet of a regal statue. He resolved that he would go to any lengths necessary to change the course of his life. The Commentarii would be his blueprint. In an illiterate, benighted world, who would ever know that Caesar was not his original creation?
    That night, Caesar offered a different sort of assistance to a tribe his expedition had contacted recently: weapons, medical supplies, and tactical expertise. He led several tribal accomplices back to the expedition's camp and through its defenses, and there oversaw the murder of his eight fellows. Within a week he was leading the tribe on ever more ambitious raids against neighboring bands of raiders and tribals. »
  4. Le Courrier : « Comment un Disciple comme vous est-il devenu dictateur ? »
    Caesar : « À 20 ans, les Disciples m'ont envoyé à l'est du Grand Canyon. Ma première expédition, rien que moi et un médecin nommé Calhoun. En qualité d'anthropologue et de linguiste, je devais apprendre les dialectes des tribus du Grand Canyon. Une putain de perte de temps ! »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  5. 5,0 et 5,1 Le Courrier : « Pourquoi l'apprentissage de dialectes serait-il une perte de temps ? »
    Caesar : « Si vous pensez qu'il y a un intérêt pour des gens cultivés à parler comme ces sauvages, c'est que vous êtes un Disciple... ou un idiot. Toujours est-il que nous avons rencontré un missionnaire mormon capable de parler plusieurs dialectes, Joshua Graham. Il était censé me les enseigner. Les leçons ont été de courte durée, la tribu des Blackfoot nous a capturés, pour réclamer une rançon. Une bande d'arriérés. Mais le vrai problème, c'est qu'ils ne savaient pas se battre. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  6. Le Courrier : « Qu'est-ce qui clochait chez les Blackfoots ? »
    Caesar : « Les Blackfoot étaient en guerre contre sept autres tribus, toutes aussi bonnes à rien qu'eux. Mais face au nombre, ils n'allaient pas tenir longtemps. C'est une chose d'être capturé, c'en est une autre de finir sur un navire en perdition. Contre l'avis de Calhoun, j'ai pris quelques initiatives. »
    Le Courrier : « Quelles mesures avez-vous prises ? »
    Caesar : « Je leur ai montré comment se servir de leurs armes - comment les démonter et les nettoyer, comment respirer quand on tire, comment recharger. Ils me prenaient pour une espèce de sorcier. Je leur ai appris à faire des explosifs et enseigné les bases de la stratégie pour unités réduites. S'il est quelque chose que j'ai appris chez les Disciples, c'est que les livres regorgent d'informations utiles. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  7. Le Courrier : « Qu'est-il arrivé après l'entraînement des Blackfoots ? »
    Caesar : « Divide et impera - diviser pour régner. J'ai mené l'offensive contre les Ridgers, leur plus faible ennemi. Devant leur refus de se rendre, j'ai donné l'ordre de tuer hommes, femmes et enfants. Lorsque nous avons ensuite affronté les Kaibabs... J'ai conduit l'un de leurs messagers au village des Ridgers pour lui montrer les corps entassés. C'était nouveau pour eux, voyez-vous. Jusque-là, ils avaient joué à se faire la guerre... un viol par-ci, un pillage par-là, une petite prise d'otage. Je leur ai apporté la guerre totale. Les livres regorgent réellement d'informations. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  8. 8,0 et 8,1 Le Courrier : « Que sont devenues les tribus ? »
    Caesar : « Les Kaibabs se sont joints à moi, et les Fredonians après eux - toutes ces tribus de merde, avec des noms à coucher dehors. J'ai su dès le début qu'il fallait éradiquer la gangrène des identités tribales et les remplacer par une culture monolithique, un esprit unique. C'est ce que j'ai fait, une fois ma confédération de tribus assez grande. Je me suis proclamé Caesar et j'ai créé une grande tribu, ma Légion. J'ai renvoyé Calhoun, le Disciple capturé avec moi, avec un message pour les gens de l'Ouest - "Aucune ingérence ne sera tolérée". Joshua Graham, l'interprète mormon, resta à mes côtés et fut mon premier Légat. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  9. Édition collector du Guide Officiel de Fallout: New Vegas, p.461 : « Important Dates
    2247 Inspired by his reading and the freedom offered by the wastes to write his own future, the young man conspires with a tribe to murder the other eight members of the expedition. He declares himself Caesar. Within a week, he is leading the tribe on ever more ambitious raids against neighboring bands of raiders and tribals, growing his forces by taking slaves. »
  10. Le Courrier : « Pourquoi la Légion est-elle si... étrange ? »
    Caesar : « Je me suis servi de la Rome impériale comme modèle pour ma Légion, précisément parce qu'elle leur était si étrangère, si lointaine. J'avais vu ce qui avait résulté des tentatives de la RNC de reproduire la culture de l'Amérique d'avant-guerre : les luttes intestines, la corruption. Rome était une autocratie militaire qui parvenait à intégrer les cultures qu'elle mettait à genoux. Les citoyens aspiraient à quelque chose de plus grand qu'eux - l'idée de Rome elle-même. Rome m'a donné le modèle d'une société capable de relever les défis d'un monde post-apocalyptique, une société qui pouvait et allait survivre. Une société qui allait permettre à l'humanité d'éviter l'autodestruction dans ce nouveau monde, grâce à l'établissement d'une nouvelle Pax Romana. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  11. Le Courrier : « Que signifie la "Pax Romana" ? »
    Caesar : « Et ça implique une culture homogène, totalitaire, impérialiste et nationaliste qui fera disparaître tout sentiment identitaire tribal. Une stabilité à long terme à tout prix. L'individu n'a d'autre utilité que sa contribution à l'état, comme instrument de guerre ou de production. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  12. Le Courrier : « Et depuis la constitution de la Légion, vous n'avez fait que conquérir d'autres tribus ? »
    Caesar : « Oui. Des décennies à absorber des tribus plus faibles pour asseoir mon pouvoir et faire d'une lame émoussée une arme aussi tranchante qu'un rasoir. Ma Légion n'a eu de cesse de grandir. La majeure partie de l'Utah et du Colorado, et la totalité de l'Arizona et du Nouveau Mexique m'appartiennent. Nous avons nos villes, mais rien comparé à Vegas. Ma Légion aura enfin sa Rome. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  13. Le Courrier : « Alors, vous allez détruire la RNC parce que vous détestez son incompétence ? »
    Caesar : « Non, je la détruirai car elle est vouée à l'échec. Pure dialectique hégélienne, rien de personnel. »
    Le Courrier : « La "dialectique hégélienne" ? Qu'est-ce que c'est que ça ? »
    Caesar : « Comment vous le dire simplement ? C'est une théorie philosophique, que vous auriez pu rencontrer si vous preniez le temps de lire un peu. Le fondement est d'envisager l'histoire comme une suite de conflits "dialectiques". Chaque dialectique débute par une proposition, une thèse... qui contient de façon inhérente, ou crée, son opposé - une antithèse. Thèse et antithèse. Le conflit est inévitable. Mais de la résolution du conflit nait autre chose, une synthèse, qui élimine les défauts de chacune, ne gardant que les idées et les éléments communs. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  14. Le Courrier : « Qu'est-ce que cette "dialectique" a à voir avec la RNC et vous ? »
    Caesar : « La RNC souffre de tous les maux de l'ancienne République romaine : bureaucratie extrême, corruption, luttes incessantes au sein même du sénat. Comme pour l'ancienne République, il est naturel qu'une force armée vienne conquérir et transformer la RNC en une dictature militaire. Thèse et antithèse. Le Colorado est mon Rubicon. Le conseil de la RNC sera éradiqué, mais la synthèse affectera aussi la Légion... d'une armée nomade, elle deviendra une force stable qui protègera ses citoyens, et le pouvoir de son dictateur. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  15. Édition collector du Guide Officiel de Fallout: New Vegas, p.460-461 : « True to Caesar
    Many years have passed, and by post-apocalyptic standards, Caesar's accomplishments have been prodigious. But the man's hunger for greatness has never been sated. Having assembled a loose nation of slavers and slaves, having won countless "wars" against inferior peoples, secretly he still feels like an upstart, an amateur-a barbaric King of the Gauls, instead of a lofty emperor of Rome.
    To advance, he needs two things: a Carthage and a Rome. In the NCR he has at last found a great adversary, against which he can wage a military campaign worthy of history books. (Indeed, worth teaching his subordinates how to read and write, so that future generations can read his own Commentarii.) And in Vegas, powered and watered by its great dam, he has found a capital worthy of, well, a Caesar. Contrary to the old saw, Rome will be built in a day. With that out of the way, the next step will be to proclaim his apotheosis. All good Roman emperors became gods, although that was usually done posthumously...
    Besides a (highly unlikely) military defeat, Caesar fears one thing only: exposure. The denizens of the wastes are too ignorant to realize that his entire empire is a grand act of plagiarism, but the Followers of the Apocalypse know exactly who he is and what he has done. Should his tribe discover that he cribbed the entire culture from books about ancient Rome, rather than having its customs dictates dictated to him by Mars...well, it's very unlikely that could happen. And he won't let it happen. That is why his forces have a standing order to kill all Followers of the Apocalypse on sight, and to brutalize all "civilized" or learned captives and haul them before Caesar's interrogators. Those who make the mistake of saying, "Hey, you guys, it's like you're emulating the ancient Roman empire," end up as severed heads on poles. »
  16. Le Courrier : « Il doit bien avoir un point faible. »
    Ulysses : « Sa force réside dans son titre, et c'est aussi sa faiblesse. Il refusera une bataille perdue d'avance, ça détruirait son image. Faites germer l'idée de la défaite dans son esprit. Dites-lui que l'Ours ne sera pas la 20e tribu à tomber sous son feu, ça fera naître le doute. Il n'y a pas que lui à convaincre. Faites appel à l'histoire. Le passé des autres légats ne compte pas que des victoires. Rappelez-le à Lanius. »
    Fichier dialogue de Ulysses
  17. Détails et sources sur l'article de la première bataille du barrage Hoover.
  18. Le Courrier : « Qu'est-il arrivé à Graham après le barrage ? »
    Hanlon : « La perte du barrage a été la pire défaite de la Légion. Graham était avec Caesar depuis le début, mais il a fallu faire un exemple. Les prétoriens ont enduit Graham de poix, y ont mis le feu et l'ont balancé dans le Grand Canyon. »
    Fichier dialogue de Hanlon
  19. Le Courrier : « Vous êtes le commandant en second de la Légion ? »
    Lucius : « Non, le légat Lanius est le second de Caesar. Il a remplacé l'Homme brûlé après la défaite de la Légion au barrage, il y a quelques années. »
    Fichier dialogue de Lucius
  20. Caesar : « Je veux que vous forgiez une alliance entre la Légion de Caesar et la Société du Gant Blanc. Ils ont un passé cannibale. Cette information nous permettra de les manipuler. Allez - Ehhhh ! Bordel ! Sortez d'ici, bordel ! Revenez quand j'aurai dormi un peu ! »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  21. Le Courrier : « C'est à moi d'en juger. Écoutons ce que vous avez à dire. »
    Silus : « Caesar a un problème. Quelque chose qu'il essaie de cacher à ses hommes. Mais c'était évident avant même cette dernière mission. Nous avons attendu trois jours son ordre de départ. Trois jours. Il restait dans sa tente, refusant de donner cet ordre. Il se plaignait de migraines. Son apparence a changé. Il a le visage creusé d'un malade. Mais il se met en rage dès que quelqu'un lui parle de sa santé. »
    (Fichier dialogue de Silus)
  22. Le Courrier : « Et si vous en êtes incapable, vous paraissez encore plus faible. »
    Silus : « [RÉUSSITE] Vous croyez que je vais me trancher la gorge pour un dictateur autoproclamé et mégalomane ? Je n'ai pas fait tout ça pour disparaître à cause d'une paranoïa irrationnelle. Caesar perd la tête. J'en suis certain. Il s'enferme dans sa tente. En privé, il se plaint de migraines. Quoi que ça puisse être, cela influe sur sa capacité à commander. »
    Fichier dialogue de Silus
  23. Le Courrier : «  »
    Caesar : «  »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  24. Le Courrier : «  »
    [[]] : «  »
    Fichier dialogue de
  25. Acte de vente : « Nous, représentants du Consul Officiorum, avons en ce jour négocié et acheté à Jeannie May Crawford de la commune de Novac, les droits exclusifs de propriété et de vente de l'esclave Carla Boone pour la somme de mille capsules de bouteille et ceux de l'enfant qu'elle porte pour la somme de cinq cents capsules de bouteille. Ce document tient état et lieu de récépissé. Nous garantissons à l'esclave et à sa future progéniture une vie d'esclavagisme sûre et saine. Nous acceptons, en accord avec ladite Jeannie May Crawford, d'exercer les pleins pouvoirs sur l'esclave précitée et son enfant. Un paiement supplémentaire de cinq cents capsules de bouteille sera alloué suite à la maturation réussie du foetus, sur lequel nous percevrons notre dû en vertu de la possession de ce document.
    M. Scribonius Libo Drusus et al.
    Administrateurs de M. Licinius Crassus, Consul Officiorum ab Famulatus »
  26. Le Courrier : « Qu'est-ce que vous pensez de la Légion de Caesar ? »
    Raul Tejada : « Elle ne me pose pas vraiment de problème. Les gens d'ici croient que c'est une bande de sauvages qui ne rêve que de brûler et de piller. Moi, je suis allé en Arizona, boss. Avant la Légion, c'était tellement rempli de raiders qu'on ne pouvait même pas faire trois kilomètres tranquille. Les lois de Caesar sont sévères et leurs châtiments sont souvent moches. Mais, bon, moi aussi je suis moche, et vous m'acceptez comme je suis. »
    Fichier dialogue de Raul Tejada
  27. Le Courrier : « Vous devriez utiliser les technologies de M. House pour attaquer le barrage. »
    Caesar : « Vous ne comprenez pas, hein ? Mes armes sont forgées dans le sang, la chair, les muscles, les os : des trucs mortels. Fragiles, même. Et pourtant ma Légion m'obéit, jusqu'à la mort. Pourquoi ? Parce qu'ils aspirent au bien commun, et qu'ils n'imaginent aucune alternative. Les machines de House, sa technologie, que proposent-elles ? Une victoire sans sacrifice ? Pas de sang versé, rien que des... rivets. Ce n'est pas une idée à éventer. Si l'homme veut survivre à ce tournant de l'histoire, il lui faut des soldats, pas des gadgets. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  28. Le Courrier : « Qu'est-ce que c'est que cette machine, dans votre tente ? »
    Caesar : « On appelle ça un Auto-Doc. Comme le nom l'indique, c'est un médecin automatique - plus ou moins. Il peut soigner les fractures, les plaies, les entailles, les égratignures. Il m'arrive d'en permettre l'utilisation à un ami. C'est un cadeau de choix, au sein d'une culture qui interdit tout analgésique et qui reste très largement réfractaire à la médecine. »
    (Fichier dialogue de Caesar)
  29. J.E. Sawyer : « Yes, he does suggest that. He says that when the Legion dominates NCR, it will be akin to the rise of the Roman Empire following the republic. The Legion will become, if not a "peace" force, a domestic army instead of a roving war band, and the NCR's corruption will be swept away along with the government. Arcade isn't exaggerating when he suggests that Caesar views the Colorado River as his Rubicon. e: It's true that Caesar doesn't say anything explicitly about the role of women, but Caesar's view of women is different from most of the legionaries. As I wrote above, the Legion is at war, and he views the use of women for military purposes as a bad strategic choice when he could be using them to create more legionaries. »
    (source)
  30. J.E. Sawyer : « RE: Caesar's plans: yes, he views the Colorado River as the Rubicon and the NCR as the corrupt Roman Republic waiting to be torn down via military occupation. This is literally exactly what Julius Caesar did with Legio XIII Gemina. Other things Julius Caesar did: not leave a clear line of succession, resulting in the early fracture and borderline collapse of the nascent Roman Empire he created. »
    (source)
  31. J.E. Sawyer : « In Caesar's view, NCR's problems have to do with the corruption of its government and what he sees as inherent flaws in NCR's republican system. All of the strategies he uses to assemble the Legion and march on NCR are means to an end, not social end goals themselves. Caesar sees NCR as Rome and his role in reforming it as Julius Caesar's role in reforming the republic (by turning it into a dictatorship). When Julius Caesar crossed the Rubicon and returned to Rome, his legion didn't rape and enslave their way through the city. However, rape and enslavement were common in outer territories of the Roman Empire and were regularly used as tools of intimidation and labor. When Arcade "jokes" that Caesar thinks that the Colorado River is the Rubicon, he's not far from the truth. »
    (source)
  32. Le Courrier : « Une opinion sur la RNC ? »
    Caesar : « Vous voulez mon avis d'ancien citoyen, ou de futur conquérant ? En fait, c'est la même chose. Jeune homme, on m'a appris à vénérer la Présidente Tandi des Sables ombragés. "Fondatrice de la République de Nouvelle Californie." Saviez-vous qu'elle est restée en poste 52 ans ? Et que son père, Aradesh, était le premier Président de la République ? Vous croyez que c'est une démocratie, ça, ou une dictature héréditaire ? »
    Le Courrier : « La présidente Tandi a chaque fois été élue. »
    Caesar : « Le Conseil n'osait pas la contredire. Elle avait le peuple avec elle. Elle avait leur amour. Tout était plus ou moins tranquille. Et dès qu'elle a été partie, dès que la "démocratie" a pu vraiment s'exprimer, alors quoi ? Depuis qu'elle a perdu sa reine, la RNC est faible, diffuse. La démocratie a été sa faiblesse, non sa force. »
    Le Courrier : « En quoi la RNC est-elle faible ? »
    Caesar : « La cupidité est partout. Le gouvernement est corrompu et reçoit des pots de vin des barons et propriétaires brahmines, au détriment des citoyens. La RNC n'est qu'un vague conglomérat d'individus égoïstes. Ils ont perdu toute vertu. Personne ne se soucie plus du collectif, du bien commun. Elle est vouée à l'échec. Je ne fais qu'accélérer le processus. »
    Le Courrier : « La RNC est certainement un ennemi puissant ? »
    Caesar : « Bien sûr. La plus puissante que ma Légion ait affrontée. Et aussi la première à laquelle je suis opposé idéologiquement. Jusqu'à présent, chacune des tribus que j'ai vaincues n'était qu'une bande d'arriérés, l'esclavage a été un soulagement pour eux. Ma conquête du Mojave sera un triomphe éclatant. Elle marquera pour ma Légion le passage d'une vie nomade à celle d'un véritable empire. À l'image de mon homonyme qui conquit la Gaule avant de traverser le Rubicon, je m'imposerai ici et je traverserai le Colorado. »
    (Fichier dialogue de Caesar)