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Malgré la destruction de la planète par la guerre nucléaire, de nombreuses zones restèrent habitables dans une certaine mesure, là où les niveaux de retombée radioactive était faibles et tolérables. Les humains survivants étaient dans certaines régions de la planète encore capable de vivre dans les ruines de la civilisation d'avant-guerre, d'établir de nouvelles communautés voire de petites villes.
Malgré la destruction de la planète par la guerre nucléaire, de nombreuses zones restèrent habitables dans une certaine mesure, là où les niveaux de retombée radioactive était faibles et tolérables. Les humains survivants étaient dans certaines régions de la planète encore capable de vivre dans les ruines de la civilisation d'avant-guerre, d'établir de nouvelles communautés voire de petites villes.


Environ une semaine après l'holocauste, la pluie radioactive commença à tomber du ciel. Elle était évidemment imbuvable. Les gouttes étaient noires, acides, entachées de cendres, de suie, d'éléments radioactifs ou contaminés par les armes nucléaires. Cette pluie marqua le début des terribles retombées signifiant la destruction réelle et permanente causée par la Grande Guerre. Les chutes d'eau durèrent quatre longues journées et achevèrent des milliers d'espèces vivantes ayant survécu à l'holocauste, qu'elles soient animales, végétales ou micro-organismes. Aux quelques choses vivantes restantes - humains, animaux ou végétaux - qui sortirent vivantes de la pluie fut léguée une planète désolée et désormais stérile, ou pratiquement toute vie civilisée s'était éteinte dans le dernier souffle des explosions nucléaires, ou dans le soupir du rayonnement intense provoqué par les retombées radioactives.
Environ une semaine après l'holocauste, la pluie radioactive commença à tomber du ciel. Elle était évidemment imbuvable. Les gouttes étaient noires, acides, entachées de cendres, de suie, d'éléments radioactifs ou contaminés par les armes nucléaires. Cette pluie marqua le début des terribles retombées signifiant la destruction réelle et permanente causée par la Grande Guerre. Les chutes d'eau durèrent quatre longues journées et achevèrent des milliers d'espèces vivantes ayant survécu à l'holocauste, qu'elles soient animales, végétales ou micro-organismes. Aux quelques choses vivantes restantes - humains, animaux ou végétaux - qui sortirent vivantes de la pluie fut léguée une planète désolée et désormais stérile, pratiquement toute vie civilisée s'était éteinte dans le dernier souffle des explosions nucléaires, ou dans le soupir du rayonnement intense provoqué par les retombées radioactives.


Certaines grandes villes du monde ne furent cependant pas complètement détruites par les bombes, pour des raisons souvent inconnues. Dans la plupart des cas, on estime que ce fut du aux rendements relativement faibles des têtes nucléaires. Des villes comme [[Washington, D.C.]] parvinrent même à préserver des bâtiments intacts malgré les explosions proches. Mais la majorité des rues des États-Unis post-holocauste étaient (et continuent d'être) bloquées par les décombres des édifices effondrés. Dans les ruines de Washington, D.C., le réseau souterrain du [[métro ]] est par exemple resté relativement intact. Bien que de nombreux tunnels soient bloqués par des tonnes de roches et de béton soulevées par le choc nucléaire, le réseau de métro reste le moyen le plus simple, sinon le seul, de se déplacer dans la ville.
Certaines grandes villes du monde ne furent cependant pas complètement détruites par les bombes, pour des raisons souvent inconnues. Dans la plupart des cas, on estime que ce fut du aux rendements relativement faibles des têtes nucléaires. Des villes comme [[Washington, D.C.]] parvinrent même à préserver des bâtiments intacts malgré les explosions proches. Mais la majorité des rues des États-Unis post-holocauste étaient (et continuent d'être) bloquées par les décombres des édifices effondrés. Dans les ruines de Washington, D.C., le réseau souterrain du [[métro ]] est par exemple resté relativement intact. Bien que de nombreux tunnels soient bloqués par des tonnes de roches et de béton soulevées par le choc nucléaire, le réseau de métro reste le moyen le plus simple, sinon le seul, de se déplacer dans la ville.