« Réseau du rail » : différence entre les versions
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Une première fracture divise alors la population de la région, débattant de la nécessité ou non d'octroyer aux synthétiques les mêmes droits qu'aux humains. Certains voient en eux de simples machines, un modèle de robot humanoïde avancé et potentiellement dangereux. La paranoïa se répand quand des habitants commencent à disparaître la nuit pour réapparaître quelques jours plus tard, remplacés par des clones artificiels susceptibles de dysfonctionner et de devenir fous comme ce fut le cas pour M. Carter<ref name="verite_synthetique" />. | Une première fracture divise alors la population de la région, débattant de la nécessité ou non d'octroyer aux synthétiques les mêmes droits qu'aux humains. Certains voient en eux de simples machines, un modèle de robot humanoïde avancé et potentiellement dangereux. La paranoïa se répand quand des habitants commencent à disparaître la nuit pour réapparaître quelques jours plus tard, remplacés par des clones artificiels susceptibles de dysfonctionner et de devenir fous comme ce fut le cas pour M. Carter<ref name="verite_synthetique" />. | ||
D'autres cependant considèrent les synthétiques comme des êtres doués de conscience et d'émotions, ayant l'apparence et l'esprit des humains. Les accidents qu'ils provoquent seraient le fruit de la programmation de leur créateur, l'[[L'Institut|Institut]], dont ils seraient les esclaves. C'est à partir de cette idée fondatrice que le Réseau du rail a émergé, désireux de libérer ces synthétiques prisonniers<ref>[[Vagabond solitaire]] : « Que savez-vous de ce réseau d'androïdes ? »<br />[[Horace Pinkerton|Pinkerton]] : « Un tas de crétins au coeur tendre, si vous voulez mon avis. Ils vont se faire tuer, un de ces jours. Et pour quoi ? La libération des machines ? »<br /></ref>. Il existe toutefois un débat au sein même du réseau au sujet du sauvetage des synthétiques de générations une et deux, qui seraient plus robotiques et moins conscients que leurs homologues ultérieurs. | D'autres cependant considèrent les synthétiques comme des êtres doués de conscience et d'émotions, ayant l'apparence et l'esprit des humains. Les accidents qu'ils provoquent seraient le fruit de la programmation de leur créateur, l'[[L'Institut|Institut]], dont ils seraient les esclaves. C'est à partir de cette idée fondatrice que le Réseau du rail a émergé, désireux de libérer ces synthétiques prisonniers<ref>[[Vagabond solitaire]] : « Que savez-vous de ce réseau d'androïdes ? »<br />[[Horace Pinkerton|Pinkerton]] : « Un tas de crétins au coeur tendre, si vous voulez mon avis. Ils vont se faire tuer, un de ces jours. Et pour quoi ? La libération des machines ? »<br /></ref>. Il existe toutefois un débat au sein même du réseau au sujet du sauvetage des synthétiques de générations une et deux, qui seraient plus robotiques et moins conscients que leurs homologues ultérieurs<ref></ref>. | ||
Par souci de sécurité face aux méthodes musclées de l'Institut, le réseau a toujours fonctionné de manière souterraine. Planques, repaires, communications secrètes et opérations discrètes font partie de l'ADN du groupe<ref name="railroad_qg_terminal_wyatt" /><ref name="railroad_qg_terminal_pinky" /><ref name="railroad_qg_terminal_desdemona" />. Pour sauver les synthétiques, les membres du Réseau du rail leur offrent un nouveau départ via reconstruction faciale et un effacement mémoriel<ref>[[Vagabond solitaire]] : « Parlons de la reconstruction faciale et de l'effacement mémoriel sur l'androïde. »<br />[...][[Horace Pinkerton|Pinkerton]] : « Bien. Cet androïde, qui se fait maintenant appeler Harkness, voulait un changement de souvenirs. J'en ai pris de nouveaux et j'ai effacé les anciens. [...] Je suis le seul de toutes les Terres désolées capable de faire de la chirurgie faciale. La chair de ces androïdes est assez proche de la nôtre. »<br /></ref>. | Par souci de sécurité face aux méthodes musclées de l'Institut, le réseau a toujours fonctionné de manière souterraine. Planques, repaires, communications secrètes et opérations discrètes font partie de l'ADN du groupe<ref name="railroad_qg_terminal_wyatt" /><ref name="railroad_qg_terminal_pinky" /><ref name="railroad_qg_terminal_desdemona" />. Pour sauver les synthétiques, les membres du Réseau du rail leur offrent un nouveau départ via reconstruction faciale et un effacement mémoriel<ref>[[Vagabond solitaire]] : « Parlons de la reconstruction faciale et de l'effacement mémoriel sur l'androïde. »<br />[...][[Horace Pinkerton|Pinkerton]] : « Bien. Cet androïde, qui se fait maintenant appeler Harkness, voulait un changement de souvenirs. J'en ai pris de nouveaux et j'ai effacé les anciens. [...] Je suis le seul de toutes les Terres désolées capable de faire de la chirurgie faciale. La chair de ces androïdes est assez proche de la nôtre. »<br /></ref>. | ||